Et en France en 2010 .... pauvre Coluche, s'il savait ...
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Une fois de plus, cette année 2010 qui s’achève a confirmé l’incompétence des pouvoirs publics et des gouvernants en matière de lutte contre les précarités et le mal-logement !
Une fois de plus, voire plus encore, il nous faut agir, de manière collective ou individuelle, pour venir en aide à nos Ami(e)s de la Rue, à celles et ceux qui n’ont qu’un ciel gris pour plafond, un bout de carton ou un maigre duvet pour les nuitées, une tente ou abris de fortune bien planquée en des lieux improbables afin de se mettre à l’abri, loin des regards.
2010 qui s’achève a vu, une fois de plus, la réponse policière et le mépris des politiques à l’encontre des initiatives d’associations ou de collectif qui n’ont qu’un but commun : faire cesser l’indifférence !
Parce que des personnes vivent et meurent dans la rue,
Parce que des travailleurs pauvres ont parfois rêvé de prime à la casse histoire de s’acheter une nouvelles bagnoles en guise de logement,
Parce que des travailleurs sans-papier ont le droit de bosser et de cotiser mais n’ont pas la droit à une existence légale,
Parce qu’il est de bon ton de chasser les Rroms histoire d’oublier un temps les Auvergnats,
Parce que des familles vivent dans des conditions indignes d’un pays comme la Franchouillie,
Parce qu’une loi dite de réquisition n’est jamais appliquée,
Parce le quota de logements sociaux est savamment orchestré par trop de commune,
Parce que, tout simplement, trop de logements sont vides et que trop de personnes sont à la rue,
Parce que, enfin, la constitution franchouillarde stipule qu’un toit, que le droit à l’éducation, à l’enseignement et l’accès au soins les plus nécessaires relèvent du devoir d’un pays comme le notre.
Une fois de plus, cette fin d’année qui s’achève voit se mobiliser des personnes et le tissus associatif afin d’organiser, à l’approche des fêtes de fin d’année plus propices à la solidarité, des maraudes dites de Noël afin d’apporter un soutien, un réconfort, d’offrir un peu plus de temps à celles et ceux qui bravent le froid de saison, le froid aussi de l’indifférence, dans la rue.
Rappel : Plus de 340 personnes ont trouvé la mort dans nos rues ou suite des conséquences de celle-ci en 2010. En 2009, le Collectif les Morts de la Rue a fait mention de 406 décès du même acabit. Ça suffit non ?
http://lesenfantsducanal.fr/
MERCI JP
Une fois de plus, cette année 2010 qui s’achève a confirmé l’incompétence des pouvoirs publics et des gouvernants en matière de lutte contre les précarités et le mal-logement !
Une fois de plus, voire plus encore, il nous faut agir, de manière collective ou individuelle, pour venir en aide à nos Ami(e)s de la Rue, à celles et ceux qui n’ont qu’un ciel gris pour plafond, un bout de carton ou un maigre duvet pour les nuitées, une tente ou abris de fortune bien planquée en des lieux improbables afin de se mettre à l’abri, loin des regards.
2010 qui s’achève a vu, une fois de plus, la réponse policière et le mépris des politiques à l’encontre des initiatives d’associations ou de collectif qui n’ont qu’un but commun : faire cesser l’indifférence !
Parce que des personnes vivent et meurent dans la rue,
Parce que des travailleurs pauvres ont parfois rêvé de prime à la casse histoire de s’acheter une nouvelles bagnoles en guise de logement,
Parce que des travailleurs sans-papier ont le droit de bosser et de cotiser mais n’ont pas la droit à une existence légale,
Parce qu’il est de bon ton de chasser les Rroms histoire d’oublier un temps les Auvergnats,
Parce que des familles vivent dans des conditions indignes d’un pays comme la Franchouillie,
Parce qu’une loi dite de réquisition n’est jamais appliquée,
Parce le quota de logements sociaux est savamment orchestré par trop de commune,
Parce que, tout simplement, trop de logements sont vides et que trop de personnes sont à la rue,
Parce que, enfin, la constitution franchouillarde stipule qu’un toit, que le droit à l’éducation, à l’enseignement et l’accès au soins les plus nécessaires relèvent du devoir d’un pays comme le notre.
Une fois de plus, cette fin d’année qui s’achève voit se mobiliser des personnes et le tissus associatif afin d’organiser, à l’approche des fêtes de fin d’année plus propices à la solidarité, des maraudes dites de Noël afin d’apporter un soutien, un réconfort, d’offrir un peu plus de temps à celles et ceux qui bravent le froid de saison, le froid aussi de l’indifférence, dans la rue.
Rappel : Plus de 340 personnes ont trouvé la mort dans nos rues ou suite des conséquences de celle-ci en 2010. En 2009, le Collectif les Morts de la Rue a fait mention de 406 décès du même acabit. Ça suffit non ?
http://lesenfantsducanal.fr/